PROT propose de méditer un temps sur les modalités de vie en collectivité, et le comportement individuel dans le champ élargi de la vie sociale.
Etre PROT-solidaire, c'est penser avant tout à sa gueule au sein d'un collectif ou s'évertuer à être de droite de gauche plutôt que d'effleurer l'idée d'être de gauche de droite. C'est tourner le dos à la gauche-caviar-boboïte pour se jeter à bras ouverts dans la droite macramé.
Autrement dit, c'est le désir de participer à un mouvement collectif (pour travailler, vivre ensemble, partir en vacances) pour le plaisir individuel et égoiste que cela procure plutôt que pour l'idée sympathique néo-babacool de la vie/travail/vacances au sein d'un groupe.
C'est faire resplendir le bien-être intérieur d'un égoïsme affirmé sur l'ensemble d'un groupe pour lui donner les ailes que le consensus mou de la vie en collectif lui a retiré depuis belle lurette.
Etre PROT-solidaire, c'est penser avant tout à sa gueule au sein d'un collectif ou s'évertuer à être de droite de gauche plutôt que d'effleurer l'idée d'être de gauche de droite. C'est tourner le dos à la gauche-caviar-boboïte pour se jeter à bras ouverts dans la droite macramé.
Autrement dit, c'est le désir de participer à un mouvement collectif (pour travailler, vivre ensemble, partir en vacances) pour le plaisir individuel et égoiste que cela procure plutôt que pour l'idée sympathique néo-babacool de la vie/travail/vacances au sein d'un groupe.
C'est faire resplendir le bien-être intérieur d'un égoïsme affirmé sur l'ensemble d'un groupe pour lui donner les ailes que le consensus mou de la vie en collectif lui a retiré depuis belle lurette.
Tout se joue ici finalement. Dans cette idée de bien-être. Seul ou en collectif, c'est ce qu'il importe de cultiver. Or, le souci principal des mouvements de solidarité est qu'ils attendent souvent, pour émerger, de se retrouver confronter à des situations extrêmes et menaçante. Cela n'a rien à voir avec le bien-être. La bande-annonce de Starship Troopers de Verhoeven le dit très bien. En substance (et de mémoire) : "depuis l'aube de l'humanité les hommes se foutent sur la gueule". C'est l'arrivée imminente d'une menace extra-terrestre qui les amène à s'unir (et donc à arrêter de se mettre sur la tronche). Il est PROTement intéressant de noter que finalement la motivation initiale reste la même: " écraser la gueule de son voisin". C'est juste le voisin qui change. Et c'est bien là le problème. A l'origine, ce qui motive généralement les mouvements solidaires et la fondation d'une communauté c'est la menace d'un ennemi plus fort (les barbares, le Grand Capital, le patron, les extra-terrestres...).
Ceci n'est pas PROT pour un sous, car la solidarité PROT à de fondamental sa permanence : elle ne surgit pas soudainement à l'arriver d'un potentiel danger. La solidarité PROT, c'est le désir continu de mutualiser les "bien-être PROT" au profit d'un collectif qui ne se rêve pas comme tel ni en affirmation vis à vis d'un autre collectif. Car ceci n'a définitivement rien à voir avec l'idée de bien-être.
La solidarité PROT existe ainsi de manière informelle, chaotique et continue grâce à la collectivié des "bien-être PROT". Elle ne s'accentue pas à l'approche d'une potentielle menace (à laquelle généralement elle ne croit pas) et se manifeste surtout quand tout va bien.
Bref, pour résumer: Youpi !
Ceci n'est pas PROT pour un sous, car la solidarité PROT à de fondamental sa permanence : elle ne surgit pas soudainement à l'arriver d'un potentiel danger. La solidarité PROT, c'est le désir continu de mutualiser les "bien-être PROT" au profit d'un collectif qui ne se rêve pas comme tel ni en affirmation vis à vis d'un autre collectif. Car ceci n'a définitivement rien à voir avec l'idée de bien-être.
La solidarité PROT existe ainsi de manière informelle, chaotique et continue grâce à la collectivié des "bien-être PROT". Elle ne s'accentue pas à l'approche d'une potentielle menace (à laquelle généralement elle ne croit pas) et se manifeste surtout quand tout va bien.
Bref, pour résumer: Youpi !